Zonage et gestion par zone dans les aires marines nationales de conservation

La gestion par zone renvoie à un ensemble de stratégies permettant de déterminer l’emplacement et les modalités des différentes activités se déroulant dans une aire marine nationale de conservation. Il s’agit d’un élément essentiel à l’atteinte des objectifs de gestion liés à la protection du patrimoine, à l’utilisation écologiquement viable et à la fréquentation des aires marines nationale de conservation.

La gestion par zone concerne trois éléments :

1. le zonage
2. les zones spéciales de gestion
3. les fermetures et les restrictions temporaires

Ces trois éléments constituent des stratégies complémentaires conçues pour surmonter différents types de difficultés et de défis en matière de gestion. Ce document présente les trois éléments de la gestion par zone et décrit comment ils peuvent être mis en œuvre grâce au règlement.

Pourquoi établissons-nous un règlement ?

La Loi et la Politique sur l’établissement et la gestion des aires marines nationales de conservation récemment adoptée fournissent toutes deux des directives sur la création de zones en tant que condition pour atteindre le but et les objectifs des aires marines nationales de conservation. Le zonage est une stratégie clé pour la gestion des activités et des utilisations dans les aires marines nationales de conservation afin de soutenir la conservation et l'utilisation durable des écosystèmes marins. En outre, la Politique indique que la création de zones spéciales de gestion, ainsi que l’imposition de fermetures et de restrictions temporaires, représentent des stratégies supplémentaires pour atteindre les objectifs de gestion. Le règlement sera l’outil juridique permettant de mettre en œuvre ces trois stratégies dans les aires marines nationales de conservation, et ce, par la création de restrictions et d’interdictions par zone, selon ce qui est indiqué ci-dessous.

Ce que nous proposons de réglementer

Zonage

Le zonage est le processus qui consiste à diviser une aire marine nationale de conservation en différentes zones afin de déterminer les endroits où certaines activités peuvent ou ne peuvent pas avoir lieu dans une aire marine nationale de conservation. Le processus de zonage comporte trois étapes. La dernière étape est liée au règlement.

• Étape 1 : Le cadre national de zonage qui est défini dans la Directive sur la gestion des aires marines nationales de conservation définit quatre types de zone. Chaque type de zone a une vocation particulière et est assorti d’une liste d’activités qui sont autorisées ou non dans ces zones.
• Étape 2 : L’établissement d’un plan de zonage fait partie du processus de planification de gestion de chaque aire marine nationale de conservation. Les plans directeurs sont revus tous les dix ans et déposés au parlement. Le plan de zonage repose sur le cadre national de zonage et établit les limites de chaque type de zone dans une aire marine nationale de conservation donnée. Autrement dit, il indique où seront situées les zones 1, 2, 3 et 4 d’une aire marine nationale de conservation donnée. Les plans de zonage, qui font partie du processus de planification de la gestion, font l’objet d’une vaste mobilisation auprès des partenaires de gestion des aires marines nationales de conservation avant d’être finalisés et publiés.
• Étape 3 : Le règlement accordera les pouvoirs légaux requis pour mettre en œuvre le plan de zonage de chaque site. Il s’agit du mécanisme utilisé pour interdire ou restreindre légalement les activités dans les différentes zones du plan de zonage. Des exemples de l'application du règlement proposé aux plans de zonage sont présentés ci-dessous.

Exemples illustrant comment la réglementation sur les aires marines nationales de conservation contribuera à la mise en œuvre des plans de zonage.

Étant donné que le zonage est lié à la fois au cadre national de zonage et aux plans directeurs à l’échelle des sites, il convient surtout à la mise en œuvre de mesures à long terme cohérentes permettant l’encadrement des activités qui soutiennent les objectifs de gestion. Cela signifie que d’autres outils sont nécessaires pour traiter les enjeux de gestion particuliers et dynamiques qui seront réglementés. Ces outils sont les zones spéciales de gestion et les fermetures temporaires.

Zones spéciales de gestion

Les zones spéciales de gestion constituent un outil utilisé pour surmonter les défis de conservation et de gestion nécessitant l’interdiction ou la restriction des activités dans un secteur particulier d’une aire marine nationale de conservation. Les zones spéciales de gestion permettent l’encadrement d’activités particulières sur une base temporaire ou saisonnière, ou sur une période plus longue, le cas échéant, afin que les principales exigences en matière de protection soient respectées, et ce, de manière à réduire au minimum les répercussions sur les utilisateurs des aires marines nationales de conservation. Elles peuvent être créées à tout moment et dans n’importe quel type de zone, mais avant d’être imposées, elles doivent faire l’objet d’une consultation en bonne et due forme des corps dirigeants autochtones, des ministères pertinents et des autres partenaires de gestion des aires marines nationales de conservation. Le règlement permettra de délimiter des zones spéciales de gestion, et d’y interdire ou d’y restreindre les activités dans la mesure convenue par les partenaires de gestion. Le tableau 1 fournit quelques exemples de situations où le pouvoir réglementaire de créer des aires spéciales de gestion pourrait être utilisé pour atteindre les objectifs de gestion des aires marines nationales de conservation.

Tableau 1 : Exemples de zones spéciales de gestion

Fermetures, restrictions et interdictions temporaires

Les fermetures, les restrictions et les interdictions temporaires constituent une stratégie permettant de réagir rapidement aux situations d’urgence ou à d’autres problèmes pressants qui nécessitent une attention immédiate, à court terme. Elles seront établies par le biais de pouvoirs prévus dans le règlement qui permettent la fermeture rapide d’une zone, ou la restriction ou l’interdiction de toute activité dans cette zone, selon ce qui est nécessaire pour régler le problème. Ce pouvoir ne pourrait être utilisé que pour une période de 30 jours. Les mesures à plus long terme seraient établies par le biais de la création d’une zone spéciale de gestion ou d’un autre mécanisme adapté à un problème récurrent.

Voici quelques exemples illustrant comment les fermetures, les restrictions et les interdictions temporaires peuvent être utilisées pour régler un problème de gestion :

• Limitation temporaire de la vitesse des navires dans une zone particulière en raison d’un regroupement inattendu d’espèces en péril
• Interdiction d’accès temporaire à une zone particulière en raison d’un danger temporaire pour la sécurité publique

Les principales étapes de la mise en œuvre de restrictions et de fermetures temporaires seraient les suivantes :

1. Un problème urgent, inattendu, qui nécessiterait une approche de gestion temporaire, est relevé.
2. Les partenaires de gestion sont consultés si les délais et les circonstances le permettent.
3. Les pouvoirs de réglementation sont utilisés pour créer une fermeture, une restriction ou une interdiction temporaire.
4. Les détails de la fermeture, de la restriction ou de l’interdiction temporaire sont communiqués à grande échelle.
5. La fermeture, la restriction ou l’interdiction temporaire entre en vigueur et est appliquée.

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ᐅᖃᐅᓯᕆᓚᐅᕐᓚᕗᑦ ᑲᓇᑕᒥ ᑕᕆᐅᕐᒥᐅᑕᓄᑦ ᓴᐳᔾᔨᕖᑦ ᒪᓕᒐᖏᑦ ᐅᓂᒃᑲᓕᐊᖏᑦ ᓇᐃᓈᖅᓯᒪᔪᑦ: ᑭᒡᓕᓕᐅᓯᒪᔪᑦ / ᓇᓗᓇᐃᖅᓯᒪᔪᑦ ᐊᒻᒪᓗ ᐃᓂᖏᓐᓂᒃ - ᑐᕌᖓᔪᖅ ᐊᐅᓚᑕᐅᓂᖏᑦ

ᑭᒡᓕᓕᐅᓯᒪᔪᑦ / ᓇᓗᓇᐃᖅᓯᒪᔪᑦ ᐃᓂᖏᓐᓂᒃ - ᑐᕌᖓᔪᖅ ᐊᐅᓚᑕᐅᓂᖏᑦ ᑲᓇᑕᒥ ᑕᕆᐅᕐᒥᐅᑕᓄᑦ ᓴᐳᔾᔨᕕᖕᓂ

ᐃᓂᖏᓐᓂᒃ − ᑐᕌᖓᔪᖅ ᐊᐅᓚᑕᐅᓂᖓ ᑐᑭᖃᖅᑐᑦ ᖃᓄᐃᓕᐅᕈᑎᒃᓴᓕᐊᕆᔭᐅᔪᓂᒃ ᐊᐅᓚᑦᑎᖃᑕᕐᓂᖅ ᓇᓃᓐᓂᖏᓐᓂᒃ ᐊᒻᒪᓗ ᐊᔾᔨᒌᖏᓐᓂᖏᓐᓂ ᐱᓕᕆᕝᕕᐅᔪᓐᓇᕐᓂᖏᑦ ᑕᒫᓂ ᑲᓇᑕᒥ ᑕᕆᐅᕐᒥᐅᑕᓄᑦ ᓴᐳᔾᔨᕕᖓᓂ. ᐱᒻᒪᕆᐅᕗᑦ ᑕᒪᒃᑯᐊ ᐊᖑᒪᔭᕆᐊᖃᕐᓂᖏᑦ ᐊᐅᓚᑦᑎᓂᕐᒧᑦ ᑐᕌᒐᕆᔭᐅᔪᓂᒃ ᐱᖁᑎᒋᔭᐅᖏᓐᓇᖅᑐᓂᒃ ᓴᐳᓐᓂᐊᖅᑕᐅᓗᑎᒃ, ᐱᑕᖃᐃᓐᓇᖁᔨᓂᕐᒧᑦ ᐊᑐᖅᑕᐅᔪᓐᓇᕐᓂᖏᓐᓂᒃ ᑕᑯᓂᐊᖅᑕᐅᖃᑕᕈᓐᓇᕐᓂᖏᓐᓂᓗ.

ᐃᓂᖏᓐᓂᒃ − ᑐᕌᖓᔪᖅ ᐊᐅᓚᑕᐅᓂᖓ ᐱᖓᓱᓂᒃ ᐃᓚᖃᖅᐳᑦ:

1. ᑭᒡᓕᓕᐅᓯᒪᔪᑦ / ᓇᓗᓇᐃᖅᓯᒪᔪᑦ
2. ᐊᑐᖅᑕᐅᒐᔪᐃᑦᑐᖅ ᐊᐅᓚᑕᐅᓂᖓ ᐃᓂᖏᑦ
3. ᒪᑐᔭᐅᓯᒪᑲᐃᓐᓇᕈᓐᓇᕐᓂᖏᑦ ᐊᔪᕐᓇᖅᑎᑕᐅᕙᖕᓂᖏᓪᓗ

ᐱᖓᓱᑦ ᑖᒃᑯᐊ ᐃᓚᒋᔭᐅᕗᑦ ᐃᑲᔪᑕᐅᓂᕐᒧᑦ ᖃᓄᐃᓕᐅᕈᑎᒃᓴᓄᑦ ᐊᔾᔨᒌᖏᑦᑑᑎᐅᔪᓄᑦ ᑐᕋᖓᓗᑎᒃ ᐊᐅᓚᑦᑎᕙᖕᓂᕐᒧᑦ ᐃᓱᒫᓘᑕᐅᔪᓄᑦ ᐊᒻᒪᓗ ᐊᒃᓱᕈᕐᓇᕈᑕᐅᔪᓐᓇᖅᑐᓄᑦ. ᐅᑯᐊ ᑎᑎᕋᖅᓯᒪᔪᑦ ᖃᐅᔨᑎᑦᑎᒋᐊᕈᑕᐅᕗᑦ ᐱᖓᓱᓂᒃ ᐃᓚᒋᔭᐅᕙᖕᓂᖏᓐᓂᒃ ᑕᐃᒃᑯᓂᖓ ᐃᓂᖏᓐᓂᒃ - ᑐᕌᖓᔪᖅ ᐊᐅᓚᑕᐅᕙᖕᓂᖏᓐᓂᒃ, ᐊᒻᒪᓗ ᖃᓄᖅ ᐊᑐᓕᖅᑎᑕᐅᔪᓐᓇᕐᒪᖓᑕ ᒪᓕᒐᐃᑦ.

ᖃᓄᐃᒻᒪᑦ ᒪᓕᒐᖃᖅᑎᑦᑎᓂᐊᕐᓕᕐᒪᖔᑕ

ᐱᖁᔭᖅ ᐊᒻᒪᓗ ᒫᓐᓇᓵᖅ ᐊᖏᕈᑕᐅᓚᐅᖅᑐᑦ ᐊᑐᐊᒐᕆᔭᐃᑦ ᓴᕿᑎᑕᐅᕙᖕᓂᖏᓐᓄᑦ ᐊᐅᓚᑕᐅᕙᖕᓂᖏᓄᓪᓗ ᑲᓇᑕᒥ ᑕᕆᐅᕐᒥᐅᑕᓄᑦ ᓴᐳᔾᔨᕖᑦ ᑕᒪᐃᓐᓂᒃ ᑎᓕᓯᔾᔪᑎᖃᖅᐳᑦ ᓴᕿᑎᑕᐅᓂᖏᓐᓄᑦ ᑭᒡᓕᖃᕐᕕᑦ ᒪᓕᒐᕆᔭᐅᓂᖏᑦ ᐊᖑᒪᔭᕆᐊᖃᕐᓂᕐᒧᑦ ᐱᑕᖃᕈᑕᐅᓂᖏᓐᓄᑦ ᑐᕋᒐᕆᔭᐅᓂᖏᓐᓄᓪᓗ ᑲᓇᑕᒥ ᑕᕆᐅᕐᒥᐅᑕᓄᑦ ᓴᐳᔾᔨᕖᑦ. ᑭᒡᓕᓕᐅᕐᓂᖅ / ᓇᓗᓇᐃᖅᓯᓂᖅ ᐱᒻᒪᕆᐅᕗᖅ ᐊᐅᓚᑦᑎᓂᕐᒥᒃ ᐱᓕᕆᐊᖑᔪᓂᑦ ᐊᒻᒪᓗ ᐊᑐᖅᑕᐅᓲᖑᔪᓂᒃ ᑕᕝᕙᓂ ᑲᓇᑕᒥ ᑕᕆᐅᕐᒥᐅᑕᓄᑦ ᓴᐳᔾᔨᕕᖕᓂ ᐃᖃᔪᖅᓱᖅᓗᒋᑦ ᑕᕆᐅᕐᒥ ᐃᒪᐃᑦ ᐊᕙᑎᖏᓪᓗ. ᐊᒻᒪᑕᐅᖅ, ᐊᑐᐊᒐᐃᑦ ᐅᖃᐅᓯᖃᖅᓱᑎᒃ ᐱᓐᖑᖅᑎᑕᐅᓂᖏᓐᓂ ᐊᔾᔨᒋᔭᐅᖏᑦᑐᓂᒃ ᐊᐅᓚᑦᑎᕕᖃᖅᑎᑕᐅᓂᖏᑦ ᐊᒻᒪᓗ ᒪᑐᔭᐅᓯᒪᑲᐃᓐᓇᕈᓐᓇᕐᓂᖏᑦ ᐊᔪᕐᓇᖅᑎᑕᐅᑲᐃᓐᓇᕈᓐᓇᕐᓂᖏᓪᓗ ᐊᐅᓚᑦᑎᓂᕐᒧᑦ ᑐᕌᒐᕆᔭᐅᔪᓂᒃ. ᐃᓚᓕᐅᑎᖃᓯᐅᑎᓪᓗᒍᒃ, ᐊᑐᐊᒐᖅ ᑎᑎᕋᖅᓯᒪᔪᖅ ᓴᕿᑎᑕᐅᓗᓂ ᐊᑐᖅᑕᐅᒐᔪᐃᑦᑐᖅ ᐊᐅᓚᑕᐅᓂᖓ ᐃᓂᖏᑦ ᐊᒻᒪᓗ ᒪᑐᔭᐅᓯᒪᑲᐃᓐᓇᕈᓐᓇᕐᓂᖏᑦ ᐊᔪᕐᓇᖅᑎᑕᐅᕙᖕᓂᖏᓪᓗ ᐃᓚᓕᐅᑎᒍᓐᓇᕐᓂᖓ ᐊᑐᕈᓐᓇᕐᓂᖅ ᐊᐅᓚᑕᐅᓂᖏᓐᓄᑦ ᑐᕌᒐᕆᔭᐅᔪᓂᒃ. ᒪᓕᒐᐃᑦ ᐊᑐᓕᕈᑕᐅᓂᐊᖅᑐᑦ ᑕᒪᐃᓐᓂᒃ ᖃᓄᐃᓕᐅᕐᕕᐅᓂᖏᓐᓂ ᑖᒃᑯᓂᖓ ᐱᖓᓱᓂᒃ ᑲᓇᑕᒥ ᑕᕆᐅᕐᒥᐅᑕᓄᑦ ᓴᐳᔾᔨᕕᖕᓂ, ᐊᑐᕐᓗᑎᒃ ᑕᐅᕙᓂ ᐃᓂᖏᓐᓂᒃ - ᑐᕌᖓᔪᖅ ᐊᔪᕐᓇᖅᑎᑕᐅᓂᐊᖅᑐᓂᒃ ᐊᒻᒪᓗ ᐊᑐᖅᑕᐅᔪᓐᓇᔾᔭᖏᑦᑐᓂᒃ ᐅᖃᐅᓯᐅᓯᒪᔪᓂ ᐊᑖᓂ.

ᖃᓄᐃᓕᖓᔪᓂᒃ ᒪᓕᒐᖃᖅᑎᑦᑎᔪᒪᓂᕐᒥᒃ ᐱᒋᐊᖅᑎᑦᑎᔪᒪᓂᕗᑦ

ᑭᒡᓕᓕᐅᕐᓂᖅ / ᓇᓗᓇᐃᖅᓯᓂᖅ

ᑭᒡᓕᓕᐅᕐᓂᖅ / ᓇᓗᓇᐃᖅᓯᓂᖅ ᑕᐃᒪᐃᓕᖓᕗᑦ ᐊᕕᒃᑐᖅᑕᐅᓯᒪᓂᐊᕐᒪᑕ ᑲᓇᑕᒥ ᑕᕆᐅᕐᒥᐅᑕᓄᑦ ᓴᐳᔾᔨᕖᑦ ᐊᔾᔨᒌᖏᑦᑑᑎᐅᔪᓂᑦ ᐊᐃᑦᑐᖅᑕᐅᓯᒪᓗᑎᒃ ᑕᐃᒪᒃ ᖃᐅᔨᒪᔭᐅᓂᐊᕐᒪᑕ ᖃᓄᐃᑦᑐᓂᒃ ᐊᔾᔨᒌᖏᑦᑑᑎᓂᒃ ᐱᓕᕆᕕᐅᔪᓐᓇᕐᓂᖏᓐᓂᒃ, ᐱᓕᕆᕝᕕᐅᔪᓐᓇᖏᓂᖏᓐᓂᒡᓗ ᑲᓇᑕᒥ ᑕᕆᐅᕐᒥᐅᑕᓄᑦ ᓴᐳᔾᔨᕕᖕᓂ. ᐱᖓᓱᖕᒪᑕ ᑭᖑᓕᕇᒃᑐᓂ ᐱᓕᕆᐊᖑᕙᓪᓕᐊᔪᑦ ᑭᒡᓕᖃᖅᑎᑦᑎᓂᕐᒧᑦ, ᑭᖑᓪᓕᕆᔭᐅᔪᖅ ᐃᓚᖃᕆᓪᓗᓂ ᒪᓕᒐᕐᓂᒃ.

• ᑭᖑᓕᕇᒃᑐᓂ ᐱᓕᕆᐊᖑᕙᓪᓕᐊᔪᑦ 1: ᑲᓇᑕᒥ ᑭᒡᓕᖃᕐᕕᖏᑦ ᑐᖓᕕᑦ ᑕᐃᑲᓂᒻᒪᑕ ᑎᓕᓯᔾᔪᑎᓕᐊᕆᔭᐅᔪᓂ ᐊᐅᓚᑦᑎᓂᕐᒧᑦ ᑲᓇᑕᒥ ᑕᕆᐅᕐᒥᐅᑕᓄᑦ ᓴᐳᔾᔨᕖᑦ ᐃᓕᑕᕆᔭᐅᓪᓗᑎᒃ ᓯᑕᒪᐃᓂᒃ ᐊᕕᒃᑐᖅᓯᒪᓂᖏᑦ, ᐊᑐᓂ ᐊᔾᔨᒌᖏᑦᑑᑎᓂᒃ ᐱᔾᔪᑎᖃᖅᑐᓂᒃ ᑎᑎᕋᖅᓯᒪᓗᑎᒃ ᑕᒪᐃᓂ ᐱᓕᕆᐊᖑᔪᓐᓇᖅᑐᓂᒃ ᐊᒻᒪᓗ ᐱᓕᕆᐊᖑᔪᓐᓇᔭᖏᑦᑐᓂ ᓴᐳᓐᓂᐊᖅᑕᐅᓯᒪᕝᕕᖕᓂ.
• ᑭᖑᓕᕇᒃᑐᓂ ᐱᓕᕆᐊᖑᕙᓪᓕᐊᔪᑦ 2: ᐊᑐᓂ ᑲᓇᑕᒥ ᑕᕆᐅᕐᒥᐅᑕᓄᑦ ᓴᐳᔾᔨᕕᖕᓂ, ᑭᒡᓕᖃᕐᕕᖏᑦ ᐸᕐᓇᐅᑎᑦ ᐱᖃᓯᐅᔾᔭᐅᔪᑦ ᐅᕙᓂ ᐊᐅᓚᑦᑎᓂᕐᒧᑦ ᐸᕐᓇᐅᑎᖏᓐᓂᒃ. ᐊᐅᓚᑦᑎᓂᕐᒧᑦ ᐸᕐᓇᐅᑏᑦ ᕿᒥᕐᕈᐊᖅᑕᐅᕙᖕᒪᑕ ᖁᓕᑦ ᐊᕐᕌᒍᐃᑦ ᓈᔭᕌᖓᒥᒃ, ᐊᖏᕈᑕᐅᕙᒃᓱᑎᒃ ᑲᓇᑕᒥ ᒪᓕᒐᓕᐅᕐᕕᒡᔪᐊᒥ. ᑕᐃᑯᐊ ᑭᒡᓕᖃᕐᕕᖏᓐᓄᑦ ᐸᕐᓇᐅᑎᑦ ᓴᓇᔭᐅᕙᒃᑐᑦ ᐊᑐᖅᑕᐅᓗᑎᒃ ᑲᓇᑕᒥ ᑭᒡᓕᓕᐊᕈᑕᐅᕙᒃᑐᑦ ᑐᖓᕕᖏᑦ ᐃᓕᑕᕆᔭᐅᓪᓗᑎᒡᓗ ᓇᐅᒃᑯᑦ ᖃᓄᐃᑦᑐᓂᒃ ᑭᒡᓕᖃᕐᓂᐊᕐᒪᖓᑕ ᑲᓇᑕᒥ ᑕᕆᐅᕐᒥᐅᑕᓄᑦ ᓴᐳᔾᔨᕕᖏᑦ. ᐅᖃᑦᑎᐊᒃᑲᓐᓂᕐᓗᒍ, ᑕᑯᒃᓴᐅᕗᑦ ᑭᒡᓕᖃᕐᕕᑦ 1, 2, 3 ᐊᒻᒪᓗ 4 ᓇᓃᓐᓂᐊᕐᒪᖓᑕ ᐃᓗᐊᓂ ᑲᓇᑕᒥ ᑕᕆᐅᕐᒥᐅᑕᓄᑦ ᓴᐳᔾᔨᕕᖕᓂ. ᑭᒡᓕᖃᕐᕕᖏᓄᑦ ᐸᕐᓇᐅᑏᑦ, ᐃᓚᒋᔭᐅᓪᓗᑎᒃ ᐊᐅᓚᑦᑎᓂᕐᒧᑦ ᐸᕐᓇᐅᑎᓄᑦ, ᓂᕈᑐᔪᓂᒃ ᑐᑭᓯᓂᐊᕈᑕᐅᑦᑎᐊᖃᑦᑕᕆᐊᓕᑦ ᐊᒻᒪᓗ ᐃᑲᔪᖅᓱᖅᑕᐅᔭᕆᐊᖃᖅᓱᑎᒃ ᑕᐃᒃᑯᓄᖓ ᑲᓇᑕᒥ ᑕᕆᐅᕐᒥᐅᑕᓄᑦ ᓴᐳᔾᔨᕕᖕᓄᑦ ᐊᐅᓚᑦᑎᔨᐅᖃᑕᐅᔪᓄᑦ ᐃᓚᒋᔭᐅᔭᕆᐊᓕᖕᓄᑦ, ᐱᔭᕆᖅᑕᐅᔪᓐᓇᖅᓯᓚᐅᖏᓂᖏᓐᓂ ᐊᒻᒪᓗ ᓴᕿᑎᑕᐅᔪᓐᓇᖅᓯᓚᕆᓚᐅᖏᓂᖏᓐᓂ.
• ᑭᖑᓕᕇᒃᑐᓂ ᐱᓕᕆᐊᖑᕙᓪᓕᐊᔪᑦ 3: ᒪᓕᒐᐃᑦ ᒪᓕᒐᖅᑎᒍᑦ ᐱᔪᓐᓇᐅᑕᐅᓂᐊᖅᑐᑦ ᐊᑐᓕᖅᑎᑦᑎᔪᓐᓇᕐᓂᖅ ᑕᐃᒃᑯᓂᖓ ᑭᒡᓕᖃᕐᕕᖏᓄᑦ ᐸᕐᓇᐅᑕᐅᔪᓂ ᐊᑐᓂ ᓴᐳᓐᓂᐊᖅᑕᐅᕕᖕᓂ. ᑕᒪᒃᑯᐊ ᐊᑐᖅᑕᐅᕙᖕᓂᕐᒧᑦ ᒪᓕᒐᖅᑎᒍᑦ ᐊᔪᖅᑎᑦᑎᖃᑕᕈᓐᓇᕐᓂᕐᒧᑦ ᑎᑭᑕᐅᑕᐃᓕᒪᔭᕆᐊᖃᕐᓂᖏᓄᓪᓗᓐᓃᑦ ᐱᓕᕆᕕᐅᔪᓐᓇᕐᓂᖏᑦ ᐊᔾᔨᒌᖏᑦᑑᑦ ᑭᒡᓕᖃᕐᕕᖏᑦ, ᒪᓕᒃᑐᓂᒃ ᑕᐃᑲᓂ ᑐᑭᒧᐊᒃᑕᐅᓯᒪᓂᖏᓐᓂᒃ as ᐅᓂᒃᑳᖅᑕᐅᔪᓂ ᑭᒡᓕᖃᕐᕕᖏᓄᑦ ᐸᕐᓇᐅᑎᓂ. ᐅᒃᑐᑎᒃᓴᐃᑦ ᖃᓄᖅ ᑲᓇᑕᒥ ᑕᕆᐅᕐᒥᐅᑕᓄᑦ ᓴᐳᔾᔨᕕᖕᓂ ᒪᓕᒐᐃᑦ ᐃᑲᔪᑕᐅᕙᖕᒪᖓᑕ ᐊᑐᓕᖅᑎᑕᐅᔪᓐᓇᕐᒪᖓᑕ ᑭᒡᓕᖃᕐᕕᖕᓂᒃ ᐸᕐᓇᐅᑎᓂᒃ ᑕᑯᔭᒃᓴᐅᒋᕗᑦ ᑕᐃᑲᓂ ᐊᕕᒃᑐᖅᓯᒪᓂᖏᑦ 1-ᒥ.

ᐅᒃᑐᑎᒃᓴᐃᑦ ᖃᓄᖅ ᑲᓇᑕᒥ ᑕᕆᐅᕐᒥᐅᑕᓄᑦ ᓴᐳᔾᔨᕕᖕᓂ ᒪᓕᒐᐃᑦ ᐃᑲᔪᑕᐅᕙᖕᒪᖓᑕ ᐊᑐᓕᖅᑎᑕᐅᔪᓐᓇᕐᒪᖓᑕ ᑭᒡᓕᖃᕐᕕᖏᓐᓄᑦ ᐸᕐᓇᐅᑎᓂᒃ.

ᐃᓱᒪᒋᓪᓗᒋᑦ ᑭᒡᓕᖃᕐᕕᖏᑦ ᐊᑕᔪᑦ ᑲᓇᑕᒥ ᑭᒡᓕᖃᕐᕕᖏᓐᓄᑦ ᑐᖓᕕᒋᔭᐅᔪᓄᑦ ᐊᒻᒪᓗ ᑕᐅᕙᓂᕐᒥᐅᑕᓄᑦ ᐊᐅᓚᑦᑎᓂᕐᒧᑦ ᐸᕐᓇᐅᑎᖏᓐᓄᑦ, ᐊᑲᐅᓂᖅᐹᖑᕗᖅ ᐊᑐᓕᖅᑎᑦᑎᕙᓪᓕᐊᔪᓐᓇᕐᓂᖅ ᑕᐃᒪᐃᖏᓐᓇᓚᖓᔪᓂᒃ, ᐊᑯᓂᐅᓂᐊᖅᑐᒧᑦ ᐊᑐᕐᓂᐊᖅᑐᓂᒃ, ᖃᓄᐃᓕᐅᕈᑎᒃᓴᓂᒃ ᐊᐅᓚᑕᐅᕙᖕᓂᖏᓐᓄᑦ ᐱᓕᕆᕕᐅᔪᓐᓇᕐᓂᖏᑦ ᐃᑲᔪᖅᓱᐃᓗᑎᒃ ᐊᐅᓚᑦᑎᓂᕐᒧᑦ ᑐᕌᒐᕆᔭᐅᔪᓂᒃ. ᑕᒪᓐᓇ ᑐᑭᓕᒃ ᐊᔾᔨᒌᖏᑦᑑᑎᓂᒃ ᐊᑐᒐᒃᓴᖃᕆᐊᖃᕐᓂᐊᖅᑐᑦ ᖃᓄᖅᑑᕈᑕᐅᕙᖕᓂᐊᖅᑐᓂᒃ ᖃᓄᐃᓕᖓᓪᓚᕆᖕᓂᖏᓐᓄᑦ ᐊᒻᒪᓗ ᐊᔾᔨᒋᖏᑦᑑᑎᐅᓂᖏᓐᓄᑦ ᐊᐅᓚᑕᐅᕙᖕᓂᖏᓐᓄᑦ ᐃᓱᒪᓘᑕᐅᔪᓐᓇᖅᑐᑦ ᒪᓕᒐᖃᕆᐊᖃᕐᓂᖏᓐᓄᑦ, ᐱᓗᐊᖅᑐᒥᒃ ᐊᔾᔨᒋᔭᐅᖏᑦᑐᓂᒃ ᐊᐅᓚᑦᑎᕕᖃᖅᑎᑕᐅᓂᖏᑦ ᐊᒻᒪᓗ ᒪᑐᔭᐅᓯᒪᑲᐃᓐᓇᖃᑕᕈᓐᓇᕐᓂᖏᑦ.

ᐊᔾᔨᒋᔭᐅᖏᑦᑐᓂᒃ ᐊᐅᓚᑦᑎᕕᖃᖅᑎᑕᐅᓂᖏᑦ

ᐊᔾᔨᒋᔭᐅᖏᑦᑐᓂᒃ ᐊᐅᓚᑦᑎᕕᖃᖅᑎᑕᐅᓗᑎᒃ ᖃᓄᐃᓕᐅᕈᑕᐅᑦᑎᐊᑲᓂᕈᓐᓇᕐᒪᑕ ᑕᒪᒃᑯᓄᖓ ᓴᐳᓐᓂᐊᖅᑕᐅᔭᕆᐊᓕᖕᓄᑦ ᐊᐅᓚᑕᐅᔪᓐᓇᕐᓂᖏᓄᓪᓗ ᐊᒃᓱᕈᕐᓇᕈᑕᐅᕙᒃᑐᑦ ᐱᔾᔪᑕᐅᒐᒥᒃ ᐱᓕᕆᕕᐅᔪᓐᓇᕐᓂᖏᓐᓂᒃ ᐃᓚᖏᓐᓂᒃ ᐊᔪᖅᑎᑦᑎᔭᕆᐊᖃᕐᓂᖅ ᐅᕝᕙᓗᓐᓃᑦ ᑎᑭᑕᐅᑕᐃᓕᒪᔪᓐᓇᕐᓂᖅ ᐃᓚᐃᓐᓇᖏᓐᓂ ᑲᓇᑕᒥ ᑕᕆᐅᕐᒥᐅᑕᓄᑦ ᓴᐳᔾᔨᕕᖕᓂ. ᐊᔾᔨᒋᔭᐅᖏᑦᑐᓂᒃ ᐊᐅᓚᑦᑎᕕᖃᖅᑎᑕᐅᓂᖏᑦ ᐊᐅᓚᑦᑎᓂᐊᕈᑕᐅᖕᒪᑕ ᖃᓄᐃᓕᖓᓪᓚᕆᒃᑐᓂᒃ ᐱᓕᕆᕕᐅᔪᓐᓇᕐᓂᖏᑦ ᐃᓛᓐᓂᒃᑯᑦ, ᐅᕝᕙᓗᓐᓃᑦ ᖃᖓᖑᕌᖓᑦ ᐊᕐᕌᒍᒥ, ᐊᑯᓂᐅᓂᖅᓴᕐᓗᓐᓃᑦ ᐱᔭᕆᐊᖃᕐᓂᖏᓐᓂᒃ ᒪᓕᒃᑐᓂᒃ ᐅᔾᔨᖅᑐᑦᑎᐊᕈᒪᓂᕐᒧᑦ ᐱᒻᒪᕆᐅᔪᓂᒃ ᓴᐳᓐᓂᐊᕈᑎᒃᓴᖃᕆᐊᖃᕐᓂᖏᑦ ᐊᒻᒪᓗ ᐊᒃᑐᖅᑕᐅᓗᐊᖅᑕᐃᓕᒪᐃᓐᓇᕆᐊᖃᕐᓂᖏᓐᓄᑦ ᐊᔪᕐᓇᖏᓂᓕᒪᒃᑯᑦ ᑕᐃᒃᑯᐊ ᑭᓇᒃᑯᑐᐃᓐᓇᐃᑦ ᑲᓇᑕᒥ ᑕᕆᐅᕐᒥ ᓴᐳᓐᓂᐊᖅᑕᐅᓯᒪᕕᖕᓂ ᐊᑐᖅᐸᒃᑐᑦ. ᖃᖓᑐᐃᓐᓇᖅ ᓴᕿᑎᑕᐅᖃᑕᕈᓐᓇᕐᒪᑕ ᐊᒻᒪᓗ ᑐᕋᖓᓗᑎᒃ ᓇᓕᐊᖕᓄᑐᐃᓐᓇᖅ ᑭᒡᓕᖃᕐᕕᐅᓂᖏᓐᓄᑦ, ᑭᓯᐊᓂ ᐱᖑᖅᑎᑕᐅᓚᐅᓂᖏᓐᓂ ᑐᑭᓯᓂᐊᕈᑕᐅᑦᑎᐊᕆᐊᖃᖅᑐᑦ ᓄᓇᖃᖅᑳᓯᒪᔪᑦ ᐊᐅᓚᑦᑎᔩᑦ ᑎᒥᖁᑎᖏᓐᓄᑦ, ᐃᓚᒋᔭᐅᔭᕆᐊᓕᖕᓄᓪᓗ ᒐᕙᒪᒃᑯᑦ ᐃᖃᓇᐃᔭᕐᕕᖁᑎᖏᓐᓄᑦ, ᐊᓯᖏᓄᓪᓗ ᐃᓚᐅᔭᕆᐊᖃᖅᑐᓄᑦ ᑲᓇᑕᒥ ᑕᕆᐅᕐᒥ ᓴᐳᓐᓂᐊᖅᑕᐅᓯᒪᕕᖕᓂ ᐊᐅᓚᑦᑎᔨᐅᖃᑕᐅᕙᒃᑐᓂᒃ ᒪᓕᒐᓕᐊᕆᔭᐅᓚᐅᖏᓂᖏᓐᓂ. ᒪᓕᒐᐃᑦ ᓴᖏᓂᖃᕈᑕᐅᓂᐊᖅᑐᑦ ᑐᑭᓕᐅᖅᑕᐅᑦᑎᐊᕈᓐᓇᕐᓂᖏᓐᓄᑦ ᖃᓄᐃᓕᖓᓂᐊᖅᑐᑦ ᐊᔾᔨᒋᔭᐅᖏᑦᑐᓂᒃ ᐊᐅᓚᑦᑎᕕᐅᔪᓐᓇᕐᓂᖏᑦ ᐊᒻᒪᓗ ᐊᔪᖅᑎᑕᐅᓂᐊᖅᑐᓂᒃ ᐊᒻᒪᓗ ᑎᑭᑕᐅᑕᐃᓕᒪᔭᕆᐊᖃᖅᑎᑕᐅᔪᓂᒃ ᐱᓕᕆᕝᕕᐅᔪᓐᓇᕐᓂᖏᑦ ᑎᑭᐅᒪᔪᓂᒃ ᑕᒪᐃᓐᓄᑦ ᐊᖏᖃᑎᒌᒍᑕᐅᓯᒪᔪᓂᒃ ᐊᐅᓚᑦᑎᔨᐅᖃᑕᐅᓂᒧᑦ ᐃᓚᒋᔭᐅᔪᓕᒫᓄᑦ. ᐊᕕᒃᑐᖅᓯᒪᓂᖏᑦ 1 ᐅᓂᒃᑲᕈᑏᑦ ᐃᓗᓕᖃᖅᑐᑦ ᐃᓚᖏᓐᓂᒃ ᐆᒃᑐᑎᒃᓴᐅᔪᓐᓇᖅᑐᓂᒃ ᖃᓄᐃᓕᖓᓕᕈᓐᓇᕐᓂᖏᓐᓂᒃ ᒪᓕᒐᓕᐅᕈᑕᐅᔭᕆᐊᖃᓕᕋᔭᖅᑐᓂᒃ ᓴᕿᑎᑦᑎᓗᑎᒃ ᐊᔾᔨᒋᔭᐅᖏᑦᑐᓂᒃ ᐊᐅᓚᑦᑎᕕᐅᔪᓂ ᐊᑐᖅᑕᐅᔭᕆᐊᖃᖅᑐᓂᒃ ᑎᑭᐅᑎᔪᓐᓇᖁᓪᓗᒋᑦ ᑲᓇᑕᒥ ᑕᕆᐅᕐᒥ ᓴᐳᓐᓂᐊᖅᑕᐅᓯᒪᕕᖕᓂ ᐊᐅᓚᑦᑎᓂᕐᒧᑦ ᑐᕌᒐᕆᔭᐅᔪᓂᒃ.

ᐊᕕᒃᑐᖅᓯᒪᓂᖏᑦ 1: ᐊᔾᔨᒋᔭᐅᖏᑦᑐᓂᒃ ᐊᐅᓚᑦᑎᕕᖃᖅᑎᑕᐅᓂᖏᑦ ᐅᒃᑐᑎᒃᓴᐃᑦ

ᒪᑐᔭᐅᓯᒪᑲᐃᓐᓇᕐᓂᖏᑦ, ᐊᔪᕐᓇᖅᑎᑕᐅᑲᐃᓐᓇᕈᓐᓇᕐᓂᖏᑦ, ᑎᑭᑕᐅᑦᑕᐃᓕᒪᑲᐃᓐᓇᕈᓐᓇᕐᓂᖏᓪᓗ

ᒪᑐᔭᐅᓯᒪᑲᐃᓐᓇᕐᓂᖏᑦ, ᐊᔪᕐᓇᖅᑎᑕᐅᑲᐃᓐᓇᕈᓐᓇᕐᓂᖏᑦ, ᑎᑭᑕᐅᑦᑕᐃᓕᒪᑲᐃᓐᓇᕈᓐᓇᕐᓂᖏᓪᓗ ᖃᓄᐃᓕᐅᕈᑕᐅᒋᕗᑦ ᕿᓚᒥᐊᓗᒃ ᑐᐊᕕᕐᓇᖅᑐᖃᖅᐸᑦ ᐊᓯᖏᓐᓂᓗᓐᓃᑦ ᐃᓱᒫᓘᑕᐅᔪᖃᖅᐸᑦ ᒫᓐᓇᑲᐅᑎᒋ ᑲᒪᒋᔭᐅᔭᕆᐊᓕᖕᓂᒃ ᕿᓚᒥᐅᔪᒥᒃ. ᒪᓕᒐᓕᐅᕈᑕᐅᓯᒪᔪᓐᓇᕐᒥᔪᑦ ᑕᒪᒃᑯᐊ ᐊᖏᖅᑕᐅᓯᒪᖄᕆᐊᖃᕆᓪᓗᑎᒃ ᐃᓗᓕᖏᑦ ᒪᓕᒐᐃᑦ ᐱᔪᓐᓇᐅᑕᐅᓂᐊᕐᒪᑕ ᕿᓚᒥᐊᓗᒃ ᒪᑐᔭᐅᔪᖃᕈᓐᓇᕐᓂᒃ ᑕᐅᕙᓂ ᐅᕝᕙᓗᓐᓃᑦ ᐊᔪᕐᓇᖅᑎᑕᐅᑲᐃᓐᓇᕆᐊᖃᕐᓂᖏᓐᓂᒃ ᐅᕝᕙᓗᓐᓃᑦ ᑎᑭᑕᐅᑦᑕᐃᓕᒪᑎᑕᐅᓗᑎᒃ ᑕᐅᕙᓂ ᖃᓄᐃᓕᐅᕈᑕᐅᔭᕆᐊᖃᕐᓂᖏᓐᓄᑦ ᐃᓱᒪᓘᑕᐅᓕᖅᑐᑦ. ᑕᒪᓐᓇ ᓴᖏᓂᖃᕈᑕᐅᔪᓐᓇᖅᑐᖅ ᑕᒫᓃ 30ᓂᒃ ᐅᓪᓗᓂᒃ ᐊᑯᓂᐅᑎᒋᔪᓐᓇᖅᑐᒥᒃ ᑕᐃᒪᐃᓕᖓᑎᑕᐅᓗᓂ. ᐊᑯᓂᐅᓂᐊᖅᓴᖅ ᐊᑐᖅᑕᐅᔭᕆᐊᓖᑦ ᑲᔪᓯᑎᑕᐅᔪᓐᓇᖅᑐᑦ ᓴᕿᑎᑦᑎᓗᑎᒃ ᐊᔾᔨᒋᔭᐅᓐᖏᑦᑐᓂᒃ ᐊᐅᓚᑕᐅᔪᓐᓇᕐᓂᖅ ᐊᓯᐊᒍᓪᓗᓐᓃᑦ ᓇᒻᒪᓈᕈᓐᓇᖅᑐᓂᒃ ᑲᔪᓯᓂᖓᓄᑦ ᐃᓱᒪᓗᑕᐅᔪᑦ.

ᐅᒃᑑᑎᒃᓴᐃᑦ ᖃᓄᖅ ᒪᑐᔭᐅᓯᒪᑲᐃᓐᓇᕐᓂᖏᑦ, ᐊᔪᕐᓇᖅᑎᑕᐅᑲᐃᓐᓇᕐᓂᖏᑦ, ᑎᑭᑕᐅᑦᑕᐃᓕᒪᑲᐃᓐᓇᕈᓐᓇᕐᓂᖏᓪᓗ ᐊᐅᓚᑦᑎᔭᕆᐊᖃᓕᕐᓂᕐᒧᑦ ᐃᓱᒪᓘᑕᐅᔪᓂᒃ ᒪᑭᓂᖓ ᐃᓚᖃᕋᔭᖅᑐᖅ:

• ᐊᔪᖅᑎᑕᐅᑲᐃᓐᓇᕈᓐᓇᖅᑐᑦ ᐅᒥᐊᕆᔭᐅᔪᑦ ᓱᒃᑲᔭᕈᓐᓇᕐᓂᖅ ᐃᓚᖓᒍᑦ ᐃᒪᕐᒥ ᐱᔾᔪᑕᐅᓂᕐᒧᑦ ᓂᕆᐅᓇᖏᑦᑐᑦ ᐊᑲᐅᖏᓕᐅᕈᑕᐅᔪᓐᓇᕐᓂᖏᑦ ᐱᔾᔪᑎᓖᑦ ᐆᒪᔪᓂᒃ ᐊᒥᓲᖏᓗᐊᓕᕐᓂᕋᖅᑕᐅᓯᒪᔪᓄᑦ.
• ᑎᑭᑕᐅᑦᑕᐃᓕᒪᑲᐃᓇᕈᓐᓇᖅᑐᑦ ᐃᒪᕐᒧᑦ ᑭᓇᒃᑯᑐᐃᓐᓇᕐᓄᑦ ᓇᖕᒋᐊᕐᓇᖅᑐᒃᑰᕐᕕᐅᔪᓐᓇᕐᓂᖓᓄᑦ ᐊᑕᕐᓇᖅᑐᖃᕐᓂᖓᓄᑦ.

ᐱᓗᐊᖅᑐᒥ ᑭᖑᓕᕇᒃᑐᓂ ᐱᓕᕆᐊᖑᕙᓪᓕᐊᔪᓂ ᐊᑐᓕᖅᑎᑦᑎᓂᕐᒧᑦ ᐊᔪᖅᑎᑕᐅᑲᐃᓐᓇᖃᑕᕐᓂᖏᓐᓄᑦ ᒪᑐᔭᐅᓯᒪᑲᐃᓐᓇᕐᓂᖏᓪᓗ ᒪᑯᐊ ᐱᔾᔪᑎᖃᓗᐊᕋᔭᖅᑐᑦ:

1. ᓂᕆᐅᒋᔭᐅᓚᐅᖏᑦᑐᓂᒃ ᑐᐊᕐᕕᕐᓇᖅᑐᖃᓯᒃᑳᓪᓚᒃᐸᑦ ᐃᓕᑕᕆᔭᐅᓗᓂᓗ ᕿᓚᒥᐅᑲᐃᓇᕐᓂᐊᖅᑐᒥᒃ ᐊᐅᓚᑕᐅᔭᕆᐊᖃᕐᓂᐊᓕᖅᑐᒥᒃ ᑕᐃᒪᒃ.
2. ᐊᐅᓚᑦᑎᔨᐅᖃᑕᐅᓂᕐᒧᑦ ᐃᓚᒋᔭᐅᔪᑦ ᑐᑭᓯᓂᐊᕐᕕᐅᓗᑎᒃ ᖃᓄᑎᒋ ᖃᓄᐃᓕᖓᓚᖓᒪᖓᑕ ᐊᒻᒪᓗ ᖃᓄᑎᒋ ᐊᔪᖅᑎᑕᐅᓯᒪᑲᐃᓐᓇᕐᓂᐊᕐᒪᖓᑕ ᐱᕕᒃᓴᖃᕐᓂᕈᑎᒃ.
3. ᒪᓕᒐᖅᑎᒍᑦ ᓴᖏᓂᖃᕈᑎᑦ ᐊᑐᖅᑕᐅᓂᖏᑦ ᐊᑐᖅᑕᐃᑲᐃᓐᓇᕐᓂᐊᖅᑐᓄᑦ ᒪᑐᓯᓂᕐᒧᑦ, ᐊᔪᕐᓇᖅᑎᑦᑎᓂᕐᒧᑦ, ᑎᑭᑕᐅᑕᐃᓕᒪᑎᑦᑎᓂᕐᒧᓪᓗᓐᓃᑦ.
4. ᖃᓄᐃᓕᖓᓂᖏ ᒪᑐᔭᐅᓯᒪᑲᐃᓐᓇᕐᓂᖏᑦ/ᐊᔪᖅᑎᑕᐅᓂᖏᑦ/ᑎᑭᑦᑕᐅᑦᑕᐃᓕᒪᓂᖏᓪᓗᓐᓃᑦ ᑕᒪᐃᓐᓄᑦ ᐊᒥᓱᓄᑦ ᑐᓴᒐᒃᓴᓕᐊᕆᔭᐅᓗᑎᒃ.
5. ᒪᑐᔭᐅᓯᒪᑲᐃᓐᓇᕐᓂᖏᑦ/ᐊᔪᖅᑎᑕᐅᓂᖏᑦ/ᑎᑭᑦᑕᐅᑦᑕᐃᓕᒪᓂᖏᓪᓗᓐᓃᑦ ᐊᑐᓕᖅᑎᑕᐅᓗᑎᒃ ᐊᒻᒪᓗ ᒪᓕᒃᑕᐅᔭᕆᐊᖃᕐᓗᑎᒃ.

ᐅᖃᖃᑎᒌᓚᐅᖅᑕ ᑕᐃᒃᑯᓂᖓ ᑲᓇᑕᒥ ᑕᕆᐅᕐᒥᐅᑕᓄᑦ ᓴᐳᔾᔨᕕᖕᓄᑦ ᒪᓕᒐᕐᓂᒃ /

ᐅᖃᐅᓯᒃᓴᖃᕐᕕᒋᔭᐃᑦ

ᐅᕙᑦᑎᓐᓂᒃ ᖃᐅᔨᑎᑦᑎᓂᐊᖅᐳᑎᑦ ᖃᓄᖅ ᐃᓱᒪᒋᖕᒪᖔᖅᐱᐅᒃ ᑕᒪᓐᓇ ᐱᒋᐊᖅᑎᑕᐅᔪᒪᔪᖅ.

ᐃᓱᒪᔭᑎᑦ ᐅᖃᐅᓯᕆᓂᐊᖅᐸᑎᑦ ᐅᕙᑦᑎᓐᓄᑦ ᐱᐅᓯᒋᐊᕈᑕᐅᔪᓐᓇᕐᓂᐊᕐᒪᑕ ᒪᓕᒐᐃᑦ ᐱᒋᐊᖅᑎᑕᐅᔪᒪᓂᖏᓐᓄᑦ.

ᓂᕆᐅᒃᑐᒍᑦ ᐅᑯᐊ ᓇᐃᓈᖅᓯᒪᔪᑦ ᐅᓂᒃᑳᑦ ᐃᑲᔪᕐᓂᖃᕈᓐᓇᕐᓂᖅ ᐃᓱᒪᒋᔭᐅᔪᓐᓇᕐᓂᖏᓐᓄᑦ ᖃᓄᖅ ᒪᓕᒐᐃᑦ ᐃᓕᖕᓂᒃ ᐊᒃᑐᖅᓯᓯᒪᔪᓐᓇᕐᒪᖓᑕ ᐊᒻᒪᓗ ᐱᔫᒥᓴᐅᑕᐅᖁᓪᓗᒋᑦ ᓂᓪᓕᐅᑕᐅᔪᓐᓇᕐᓂᖅ ᐊᒻᒪᓗ ᐅᖃᐅᓯᒃᓴᖃᕐᕕᐅᔪᓐᓇᕐᓂᖅ ᐃᓕᖕᓂᒃ. ᐃᓚᐅᖃᑕᐅᒍᕕᑦ ᐱᒻᒪᕆᖕᓂ ᐃᓚᒋᔭᐅᓂᐊᖅᑐᑦ ᑲᒪᒋᔭᐅᕙᓪᓕᐊᓂᖏᓐᓂ ᓴᕿᑎᑕᐅᕙᓪᓕᐊᔪᒪᔪᑦ ᒪᓕᒐᕆᔭᐅᓕᕈᓐᓇᖅᑐᑦ.

ᖁᔭᓕᑦᑎᐊᖅᑐᒍᑦ ᐅᖃᐅᓯᒃᓴᓂᒃᓯᒪᔭᕐᓂᒃ ᖃᐃᑕᐅᓯᒪᔪᓂᒃ ᐅᕙᑦᑎᓐᓄᑦ. ᐊᑏᑐᖅ ᑕᒪᒃᑯᐊ ᐅᖃᐅᓯᐅᕙᓪᓕᐊᓂᐊᖅᐳᑦ!

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